dimanche 11 mars 2007
un samedi soir sur la rive sud
Un collègue de travail de Pit et sa conjointe (et leurs 2 enfants) nous ont reçu à souper hier. Ça fait du bien de voir comment ça se passe dans le quotidien de d'autres familles et ça me rassure en même temps. Comme je n'ai pas trop d'expérience avec des "bébés" (en réalité, je devrais dire aucune expérience...) je trouve que je ne me débrouille pas trop mal.
Par contre, je trouve que mon côté social en reperd. Peut-être que je suis parano mais j'ai encore eu l'impression d'être invisible et que si je n'avais pas posé des questions à mon hôte pour débuter la conversation, j'aurais facilement pu passer la soirée sans dire un mot et que ça n'aurait fait aucune différence. En plus, le sujet de conversation revenait le plus souvent sur les enfants... Pour en remettre, les 2 gars se tenait ensemble pour jaser. Peut-être que mes attentes sont trop grandes et que je suis toujours déçue.
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2 commentaires:
Il est vrai que nos attentes sont souvent la vraie raison de nos déceptions. L'important, c'est alors d'être soi-même. En plus, si ce n'est pas des amis proches, on n'a pas toujours des sujets de conversation polyvalents... et on doit donc se rabattre sur autre chose (et les enfants font alors un très bon sujet!) Et puis, lors de ces rencontres, il y a une chimie qui doit être là. Si elle n'y est pas... alors ça ne "lève" pas.
C'est comme ça!
Mais pour vérifier s'il y a une chimie ou pas, ne faut-il pas essayer de connaitre l'autre un peu mieux? Et pour le connaitre, rien de mieux que quelques questions qui démontrent qu'on a de l'intérêt non?
Un jour, mes efforts sociaux seront récompensés!
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